Réussir à échouer

Réussir à échouer

Etes-vous un peu rapide en fixant vos objectifs ? Sans vouloir creuser, définir précisément les points d’attention, les étapes, les conditions de réussite ?

Pourtant, il y a tellement de grains de sables, de freins, internes et externes, de points aveugles qu’on n’éclaire pas, 😨 que l’échec est à portée de main. Et trop souvent expérimenté.

Pouvoir parler de ses échecs, c’est une composante essentielle de la sécurité psychologique des équipes, malheureusement si peu/mal autorisée au travail.

Le pire que j’ai entendu ? Une équipe pour qui j’animais un séminaire sur la créativité et l’innovation. Leur état des lieux : “Ça on a essayé une fois, mais ça n’a pas marché, on a laissé tomber…” 🤔

L’antithèse de la créativité, qui consiste justement à tester, se planter, modifier, ajuster, recommencer…

Et vous, combien de projets, de résolutions, d’objectifs avez-vous abandonné en cours de route, parce qu’il y avait un imprévu sur le chemin ?

« Réussir à échouer » est un livre du psychologue Paul Watzlawick.

Dans son livre, Paul Watzlawick identifie 3 règles pour être sûr de réussir à échouer 😉

  • Règle 1 : exprimer son objectif de façon négative, genre « je ne veux plus m’énerver contre… je ne veux plus me faire avoir par… »
  • Règle 2 : visualiser votre objectif de manière trop floue ou qu’il provoque des sensations négatives, dégoût, lassitude, en contradiction avec des valeurs importantes pour vous.
  • Règle 3 : l’atteinte de votre objectif occasionne plus de difficultés que de gratification, et vous apporte plus d’ennuis que de satisfactions.

Et bien sûr, pour ‘réussir à réussir’, Paul Watzlawick propose de faire l’inverse pour chacune de ces trois règles…

Cet exercice, je l’ai pratiqué pendant des années en production tv. Quand vous préparez un tournage avec 20 comédiens, 50 figurants, 30 techniciens, des moyens techniques prohibitifs, un lieu loué pour la journée et une chaîne de télé qui attend avec impatience le résultat, vous devez anticiper tout ce qui pourrait mal se passer…

Aujourd’hui, en coaching d’équipe, j’anime cet atelier en plusieurs phases 

  1. Réussir à échouer : mais ça signifie quoi échouer pour nous, dans notre contexte ? Cette étape se fait en petits groupes, de préférence en équipes mélangées, sans lien de subordination, pour enrichir les points de vue et limiter l’auto-censure
  2. Partager en plénière les résultats, et synthétiser par catégorie : qu’est-ce qui tient aux ressources, à l’organisation, au process, à l’information, aux compétences… 
  3. En équipes opérationnelles, cette fois, identifier les étapes inverses et définir un plan d’action, des points de vigilance, des étapes clés et des critères concrets de réussite.

Et cet exercice, je vous invite bien sûr à le faire en individuel, ça changera des bonnes résolutions dont tout le monde se lasse apparemment cette année.

  • Comment allez-vous bien planter votre année ?
  • Imaginez-vous en décembre 2024, et vous avez vraiment le sentiment d’avoir râté tout ce que vous avez entrepris.
  • A quoi ressemble cet échec pour vous ? Soyez très précise et allez-y franchement. Cet exercice n’est que pour vous !
  • Comment vous vous y êtes prise pour en arriver là ? Qu’est-ce que vous n’avez pas vérifié ? Qu’est-ce que vous n’avez pas fait, ou trop tard, ou pas bien ?
  • Et finalement : rédigez votre liste inversée, les étapes et points de vigilence pour réussir !

 

Photo Vie Studio @Pexels

 

Confiance, équilibre & impact

Confiance, équilibre & impact

La confiance en soi, c’est la difficulté n°1 de beaucoup de femmes qui me contactent. 😱

Pourtant, quand on explore leur parcours, leurs réussites, leurs compétences, elles ont toutes les raisons de se faire confiance !

Mais…

“J’ai conscience de me mettre des barrières toute seule et de manquer parfois de confiance en moi. J’ai des peurs à dompter, je pratique beaucoup l’autocensure et l’auto-sabotage”.

“Je n’ai pas fait de grande école, et parfois je ne me sens pas au niveau,  alors que je sais que mes résultats sont bons”.

“Avec des interlocuteurs un peu agressifs ou de mauvaise foi, je perds tous mes moyens, je manque de répartie, je ne sais plus quoi dire”.

“Avec la pression, je fais des erreurs, j’ai l’impression d’être arrivée au bout de mes compétences, je perds confiance”

Et bien sûr, moi aussi je connais cette confiance vacillante… 

❌ Quand je n’ai pas anticipé quelque chose, avec cette impression que je ne pourrais pas rattraper, que c’est de ma faute…

❌ Quand je lis dans l’attitude de quelqu’un une attitude négative, que j’interprète comme du mépris parce que je ne suis pas à la hauteur…

❌ Quand un client me ‘ghoste”, ne répond plus et devient injoignable (forcément parce qu’il pense que je suis nulle 😉

Mais avec l’expérience, avec l’âge aussi, j’ai appris à relativiser et à prendre de la distance avec ces moments de doute.

Parce que j’ai aussi appris à renforcer cette confiance. 🤗

Charles Pépin, dans son livre “La confiance en soi” décrit 3 aspects sur lesquels la confiance peut se construire : la confiance en l’autre, la confiance en ses compétences, la confiance en la vie.

1. Confiance en l’autre : arrêtez de refuser ou minimiser les feedbacks positifs…

La confiance en l’autre, c’est accepter de croire les compliments et les encouragements que l’on reçoit. Quand on vous dit : “Elle était super ta présentation”, plutôt que de répondre ”Oh ça aurait pu/du être mieux” ou “je n’ai pas fait grand chose” ou encore “il ne le pense pas…”, acceptez !

Depuis quelques semaines, Virginie* entend (avec étonnement et plaisir), tous les retours très positifs de son entourage professionnel, alors que jusque là elle ne s’autorisait pas à les recevoir.

A quoi ça lui sert ? A ancrer et à renforcer ce qu’elle fait bien. En acceptant ses points forts, elle peut aussi comprendre ses limites, et apprendre à déléguer, ne pas être partout mais se concentrer sur sa vraie valeur ajoutée.

👉 Notez les signes de reconnaissance que vous recevez, même minimes, de votre entourage, et relisez-les ! Laissez-vous porter par ces retours positifs, pour en faire un socle et un tremplin.

2. Confiance en ses compétences ou sentiment d’efficacité personnelle.

J’ai appris en 20 ans de production TV que ce qui doit arriver arrive, même quand on croit avoir tout prévu 😉 Bien sûr, on n’est pas tout puissant et on ne peut pas tout anticiper, tout contrôler, tout savoir.

Mais il y a aussi plein de domaines où l’on a une vraie compétence. Je sais que je sais faire plein de choses. Organiser, planifier, imaginer des parcours d’accompagnement, réseauter, rencontrer les personnes, mettre en contact, créer du lien. Mais surtout, j’ai appris apprendre.

👉 La confiance en ses compétences est liée à la fois à ce qu’on sait faire, bien faire, ce qu’on maitrise à force d’apprendre, de s’entraîner, recommencer, améliorer…  Et aussi à accepter de faire face à une part d‘inconnu. Le contexte ne sera jamais exactement le même et on ne peut pas tout anticiper ni tout prédire. Mais vous avez les ressources pour réagir, improviser, trouver une solution.

3. La confiance en la vie. 

La semaine dernière, après avoir traversé un guichet de sécurité d’un ministère, l’agent me dit : “Merci d’être restée souriante”

Je sais que le contexte international est effroyable et que l’inquiétude est très forte avec la guerre au Moyen Orient, en Ukraine, les attaques en France, les tensions partout dans le monde.

Mais la confiance en la vie, c’est accepter que le pire n’est jamais sûr, que les belles rencontres, les bonnes surprises, ça arrive aussi tous les jours, si on veut bien les voir.

👉  Ressentir de la gratitude pour toutes les choses positives, même toutes petites, dans notre vie : Etre en bonne santé, pouvoir exercer sa liberté d’agir et de penser, passer du temps à des activités qui nous plaisent, être entouré de personnes généreuses et drôles (choisissez vos qualificatifs 😉

Voir le verre à moitié plein et se dire qu’on a de la chance ❤️

C’est cette confiance en la vie qui nous donne le courage de continuer à y croire, à se mobiliser et à donner le meilleur de nous-même.

Gagner en confiance, en impact, tout en gardant l’équilibre qui vous convient, c’est l’objectif du parcours Woman Leadership.

Car si je vous ai beaucoup parlé du Bilan Career Relaunch ces derniers mois, je continue à accompagner le Leadership des femmes…

Justement parce que nous vivons une époque de grands changements, il est essentiel de repenser nos façons de faire, et la diversité est un facteur incontournable pour relever ces défis.

La Parcours Woman Leadership 3 mois

C’est en valorisant nos forces et nos singularités, en assumant un leadership qui nous ressemble que les organisations et la société pourront bénéficier de personnalités et de talents complémentaires. 

J’ai accompagné plus de 50 femmes ces dernières années en coaching Leadership, d’entreprises et de secteurs différents pour :

  • clarifier et accepter leurs forces, leurs limites, leur ambition, quelle qu’elle soit, 
  • renforcer une posture de leadership alignée sur leurs convictions
  • trouver l’équilibre perso-pro qui leur convient et fixer leurs priorités
  • oser être visible, parler de leurs réussites et de leur projet, développer leur réseau

C’est ce que vise le Parcours Woman Leadership dans une nouvelle version 3 mois concentrée sur l’essentiel : maximiser vos talents pour en faire bénéficier tout votre écosystème. 

ce parcours vous permet de renforcer 5 piliers :

  1. Prendre appui sur ses forces, ses valeurs, ses motivations
  2. Identifier son style de Leadership et savoir l’adapter
  3. Développer sa confiance en soi, sa légitimité et dépasser ses mécanismes d’autocensure
  4. Retrouver l’énergie avec l’équilibre perso-pro adapté
  5. Oser parler de soi, accroitre sa visibilité et développer son réseau

La prochaine session de ce parcours, conçue autour de ces 5 piliers avec 5 Masterclass en live et 4 séances de coaching individuel, aura lieu du 06 novembre 2023 au 09 février 2024.

Pour en savoir plus, c’est ici : Woman Leadership 3 mois

Vous ne connaissez pas vos talents ?

Vous ne connaissez pas vos talents ?

⭐️ Comment pouvez-vous donner le meilleur de vous-même si vous ne connaissez pas vos points forts ?

“Je change d’entreprise pour prendre un poste important. J’ai besoin de me développer, d’être challengée, qu’on me permette / me pousse à progresser encore, sans renoncer à l’équilibre vie pro/vie perso que j’ai trouvé…”

La prise de poste est un moment plein d’enthousiasme, car on va pouvoir enfin développer tout son potentiel 🤩

Et s’accompagne aussi d’une forte pression. Au démarrage, les demandes ssont parfois contradictoires, l’autonomie est plus réduite qu’annoncée, les ressources promises se font attendre… 😱

On tente alors :

• d’apporter rapidement toutes les réponses

• de maîtriser les sujets et d’organiser le travail

• de démontrer sa capacité à apporter de la valeur

• et surtout d’en faire plus…

On a tendance à se focaliser sur les demandes, les attentes, les dossiers, les chiffres…

Et on oublie le plus important, ✅ ce qui fait notre différence : nos points forts.

🎯 Pour garder la cap dans les turbulences de la prise de poste, réfléchissez à ces 3 points :

1. Vos valeurs, vos convictions, vos points de vue personnels :

Qu’est-ce qui est important pour vous ? Qu’est-ce qui vous fait lever le matin ? qu’est-ce que vous pourriez discuter ou défendre pendant des heures ?

Vos convictions donnent du sens à votre travail et orientent vos choix. C’est votre vision du monde et de l’avenir que vous pouvez mettre en oeuvre.

👉 C’est votre WHY : pourquoi vous êtes là, pourquoi vous faites ce que vous faites.

2. Vos talents, vos points forts, vos expertises particulières :

Quels sont vos points forts ? Qu’est-ce que vous faites bien, mieux que les autres, facilement ? Accompagner vos équipes ? Calmer des clients mécontents ? Convaincre, organiser, innover ?

Vos talents font non seulement la différence, mais en plus, les utiliser renforce votre efficacité et votre motivation.

👉 C’est votre HOW : votre style unique 😉

3. Vos priorités, ce sur quoi vous allez vous concentrer :

Devant la multiplication des possibilités, des demandes, des projets, vous devez trier. Non, vous ne pouvez pas gérer en parallèle les 240 dossiers que vous avez répertoriés, même en vous organisant mieux…

Faire preuve de leadership, c’est aussi définir les priorités, faire des choix, orienter le travail sur ce qui est important selon vous.

👉 C’est votre WHAT : Faites confiance à votre intuition !

Pour révéler vraiment votre potentiel, n’essayez pas d’être parfaite, vous n’y arriverez pas. Laissez plutôt s’exprimer le meilleur de vous-même, car c’est pour ça qu’on vous a embauchée.

Si vous voulez faire le point sur vos talents, contactez-moi pour un Premier échange offert 😉

Je ne suis pas parfaite… Mais je me soigne

Je ne suis pas parfaite… Mais je me soigne

La semaine dernière, j’ai tendu l’oreille lors d’une séance quand une cliente me disait pour la quatrième fois « c’est vrai que je suis nulle là-pour ça…« , comme un mantra qu’elle se répète de ses incompétences, qui justifient largement, à la fois son manque de confiance en elle, et de crédibilité aux yeux des autres.

Si vous me suivez depuis un moment, vous savez que je vous invite très souvent ici à partir de vous, de vos convictions, de vos motivations, de ce qui vous tient à coeur…

Mais aujourd’hui, {{ contact.PRENOM }}, je voudrais vous proposer de partir de vos ❌ défauts, vos faiblesses, vos manques pour renforcer votre ⭐️ leadership.

Oui, je sais, ça parait contre productif. Et pourtant…

Vos croyances, vos limites, vos vulnérabilités, vos résistances sont aussi un formidable levier de développement !

En clarifiant et en acceptant ses limites, on met aussi en lumière ses forces, on prend appui sur ses talents, plutôt que de dépenser toute son énergie à vouloir changer, à faire comme les autres ou comme on pense que les autres attendent de nous…

Alors je vous invite, comme je l’ai fait avec ma cliente la semaine dernière, à lister tout ce que vous ne savez pas faire, ce pour quoi vous n’êtes pas douée, tout ce pour quoi vous pensez carrément êtrenulle…

Car c’est là que se cachent les pépites ⭐️, c’est aussi dans cette liste que vous trouverez votre singularité !

1.Donc notez tout ce que vous ne faites pas bien, de manière exhaustive, n’hésitez pas à chercher au moins 100 lignes (c’est souvent à la fin de la liste que se cache le plus intéressant)

👉 Vous pouvez voir apparaître, en creux, ce que vous faites TRÈS BIEN, c’est tout ce que vous faites au quotidien et que vous n’avez pas rentré dans la liste 😉 Faites-en une seconde avec vos compétences et vos talents, c’est votre socle.

2. Ensuite reprenez votre liste de “manques” ou “défauts” et décortiquez un peu.

  • Est-ce vraiment vrai ? 
  • Dans tous les contextes / situations ?

👉 Si la réponse est oui, commencez à accepter et affirmer ce point pour vous en débarrasser “Non, moi je ne suis pas douée pour les tableaux / le small-talk / les décisions immédiates /…” (choisissez les vôtres)

N’ayez pas peur de le faire, et sachez que oser dire “je ne sais pas”, cela permet aussi aux autres de 🙏🏼 reconnaître leurs propres vulnérabilités, manques, erreurs, de ne pas les cacher sous le tapis, de renforcer le sentiment de sécurité, de se développer et d’être plus efficace 😉 Pas mal, non ?

👉 Si la réponse est non, alors quelles sont les conditions que vous devez réunir pour réduire ces “défauts” qui sapent votre confiance et votre légitimité ? Mettez en place des grades-fou pour limiter l’impact de cette zone de “compétence moyenne” 😉

Quelles sont vos « incompétences » et que disent-elles de vos forces et de votre singularité ?

N’ayez pas peur de demander

N’ayez pas peur de demander

Que vous soyez en plein process recrutement ou en poste, je suis sûre que vous avez plein de choses à demander à votre employeur 😉

Salaire, prime, avantages, voiture, nouvel ordinateur, assistant, formation, coaching ;-), télétravail… La liste n’est pas exhaustive.

Mais trop souvent, nous avons tendance à négliger l’étape de la négociation, 😨 ou on n’ose pas demander. 

Pour qui je me prends ? Comment ça va être interprété ? 

On adopte une attitude passive lors des derniers entretiens d’embauche, reconnaissante devant la confiance qu’on nous témoigne en nous proposant ce poste. Et une fois en poste, c’est trop tard, on est dans le flux, et puis c’est pareil pour les autres, pourquoi moi je demanderais…

👉 C’est le moment d’adopter une posture haute et de demander tout ce qui vous manque et qui vous permettra de mener à bien votre mission (non, ça n’est pas juste cadeau pour vos beaux yeux!). 

I✅ dentifiez ce dont vous avez spécifiquement besoin, et n’ayez pas peur des refus. Pas d’auto-censure, pas d’auto-sabotage. 

Faites des demandes claires et précises, qui démontrent volonté de mettre toutes les chances de votre côté pour réussir votre mission.

N’oubliez pas qu’elles démontrent également votre capacité de négociation, dont vous aurez peut-être à faire preuve sur le terrain, avec les partenaires ou les contractants de votre employeur.

Et tenez-moi au courant des résultats de vos négociations !

Faites le plein d’énergie positive ⭐️

Faites le plein d’énergie positive ⭐️

J’ai toujours aimé la rentrée de septembre, et je ne manque jamais de prendre un temps de réflexion pour définir à quoi je voudrais que mon année ressemble…

Qu’est-ce que j’ai envie d’y trouver, de ne plus y trouver, comment j’ai envie de me sentir, qu’est-ce que j’ai envie de réussir, d’expérimenter, de consolider…

Je pars toujours des mes ENVIES.

C’est ce qui me permet de fixer quelques objectifs très motivants, et qui ont vraiment du sens. Ces dernières années, j’avais envie de prendre soin, de structurer, d’équilibrer. 


Et je vous propose pour démarrer la rentrée avec clarté, 3 clés pour explorer et poser VOS objectifs.

#1 : Renforcer votre confiance en vous

La confiance se construit dans l’action, et malheureusement, nos émotions et nos peurs nous empêchent parfois de passer à l’action, et donc de nous fixer de vrais objectifs… 

Une bonne méthode est de revenir à vos réussites de l’année passée. Même si les circonstances étaient difficiles, vous avez réussi plein de choses, petites ou grandes !

  • Reprenez votre agenda, et mettez en lumière ces pépites, vos petites et grandes réussites.
  • Revenez aussi sur ce que vous auriez réussi si… Qu’est-ce qui vous a manqué ?
  • Et pour finir, identifiez ce que vous avez bien raté, parce que vous n’aimez pas ou parce que ce n’est pas vous…

#2 Quelle intention pour cette année ?

Comment voyez-vous cette année ? Si vous ne deviez garder qu’un seul mot, ce serait lequel ?  Et quel impact cela aura sur votre vie ?

  • L’été prochain, j’aurai réussi…
  • Je me sentirai…
  • Ce que ça changera pour moi, c’est…

#3 La règle des 3

Pensez par 3 ! Pas plus, pas moins…

  • Choisissez 3 objectifs pour l’année qui vont vous permettre d’atteindre votre objectif principal.
  • Pour chaque objectif, définissez 3 actions.
  • Chaque semaine, concentrez-vous sur 3 petits pas qui font avancer votre plan d’action

Pour moi, cette année, je la veux légère !

Derrière ce mot, je mets : joyeuse, efficace, en lien, curieuse, sereine…

Et ça va passer par simplifier les process pro, multiplier les rencontres et les échanges, renforcer mon état d’esprit qui est déjà plutôt positif ;-), accomplir une tâche à la fois, et surtout faire de mon mieux, sans pression.

Et vous, comment faites-vous le plein d’énergie positive en cette rentrée ?