Le pire cauchemar pour un employeur est de voir son collaborateur repartir au bout de six mois, sans avoir pu s’impliquer pleinement dans sa mission, et avec une famille au bord de l’implosion.

Une des principales causes d’échec des expatriations (+40%) est liée aux difficultés d’adaptation du collaborateur ou de sa famille. L’expatriation est un projet global, un challenge professionnel et personnel, dans lequel l’adaptation culturelle et l’équilibre familial conditionnent en grande partie la réussite de la mission.

Pour le collaborateur expatrié, la prise de poste demande parfois de longues semaines pour retrouver la pleine mesure de son talent. Cela n’a pas seulement un coût financier, ça a un impact direct sur la qualité du travail, le transfert du savoir dans votre entreprise, sur la motivation de toute l’équipe…

Pour le conjoint, l’expatriation est une prise de risques : perte d’emploi, de statut social, de repères, de réseaux, et difficulté de réinsertion professionnelle au retour. Le conjoint n’est pas uniquement « suiveur », il doit identifier son propre projet pour continuer à se développer en toute autonomie, même si dans la quasi totalité des pays, il n’aura pas le droit de travailler. (voir coaching de conjoints)

Le coaching permet de découvrir les facettes et les enjeux de l’expatriation pour éclairer le choix du départ, d’adapter au mieux ses compétences dans le cadre de la mobilité, d’accélérer l’intégration et de construire ses réseaux. Il aide à dépasser les appréhensions et les blocages, à identifier les comportements adoptés, ainsi qu’à préparer le retour en anticipant le « choc culturel inversé ».

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